Inside Thinkproject avec Marjona

J’ai rejoint Thinkproject en 2016, quand notre bureau de Gloucester s’appelait encore CEMAR. À l’époque, j’étais intéressée par une carrière dans l’informatique et j’ai commencé en tant que Advances I.T. Apprentice au sein de l’équipe de programmation. À mon arrivée, le bureau britannique était une toute petite équipe de 30 personnes et j’ai assisté au développement de notre équipe locale ainsi qu’au rachat par Thinkproject avant la transition vers une activité internationale de plus grande ampleur.  

Les premières années sont passées très vite, j’apprenais les bases de la programmation et j’étudiais pour la validation de mon apprentissage, tout en étant de plus en plus confiante au travail. J’ai connu des moments marquants au cours de cette période, notamment en remportant le prix de l’apprenti I.T. de l’année du Gloucestershire College, ainsi qu’en obtenant ma qualification ISTQB.  

Au fur et à mesure que je m’impliquais dans les différentes tâches de notre département Développement et infrastructure (D&I), j’ai pris conscience qu’il y avait un aspect de mon travail qui me plaisait plus que les autres : le test logiciel. Encouragée par mon tuteur, j’ai décidé de me concentrer sur ce que j’aimais dans mon travail et je suis devenue Software Test Analyst.  

L’un des avantages à travailler chez Thinkproject est que nous sommes encouragés à explorer différentes opportunités et à suivre nos passions. En travaillant avec les collègues du département D&I et en participant à divers processus, j’ai pu facilement identifier mes forces. Mon responsable a également reconnu ces points forts et nous avons décidé ensemble que je pouvais me diriger vers l’analyse des tests logiciels. 

À mesure que Thinkproject se développait, on m’a confié de nouvelles responsabilités et j’ai collaboré avec nos équipes en pleine croissance qui travaillaient toutes sur des produits différents avec des dynamiques différentes. C’était une période très stimulante pour nous tous, l’effervescence était enthousiasmante, et lorsqu’une opportunité s’est présentée pour de nouvelles fonctions, je me suis sentie en confiance pour postuler un poste de BSA.  

J’ai toujours été intéressée par la gestion de projet, les missions de responsable produit et la supervision des projets. J’ai profité de mes entretiens individuels avec mon responsable pour me renseigner sur les qualifications ou l’expérience dont j’aurais besoin pour assumer ces nouvelles fonctions. En lui montrant mon intérêt et ma motivation, il a convenu que j’étais compétente pour devenir BSA.  

C’était indéniablement quelque chose qui sortait de ma zone de confort, car j’aime réfléchir et prendre mon temps pour prendre des décisions importantes, mais j’avais gagné en confiance en sachant quelle orientation donner à ma carrière et je le vois comme une réussite personnelle d’avoir pu me lancer. Je pense que le fait d’avoir connu des changements au sein de l’entreprise, comme le rachat et la croissance rapide, a changé mon état d’esprit et m’a encouragée à aller de l’avant. Comme Ben (fondateur de CEMAR) le dit souvent : il faut voir les choses en grand pour grandir. 

C’est également très important d’être sur la même longueur d’onde que mon responsable et nous entretenons une relation fondée sur la confiance mutuelle. J’ai encore plus confiance en mes capacités en tant que BSA, même en acceptant de nouvelles tâches qui me sortent de ma zone de confort. 

En tant que Business System Analyst (BSA), je m’épanouis en sachant que chaque jour est différent. Je mets à profit mes capacités de résolution de problèmes pour relever de nouveaux défis et je dispose de l’autonomie nécessaire pour prendre des décisions qui ont la confiance du reste de mon équipe. J’apprécie de pouvoir organiser moi-même mes journées et de travailler avec différentes équipes au sein du groupe. Un des moments que je préfère dans la journée est la collaboration avec les autres BSA, car même si nous travaillons de façon autonome, ils sont toujours prêts à donner des conseils et on peut tous se réunir pour travailler dans une perspective plus globale. 

La communication est essentielle au bon fonctionnement de notre équipe, et dans la mesure où j’interviens directement dans des réunions ou autres, j’essaie de tenir compte des habitudes de travail personnelles de mes collègues. J’ai eu l’opportunité de devenir SCRUM Master, et quand je dois demander quelque chose à des membres de mon équipe, j’essaie de comprendre le mode de communication qu’ils préfèrent, par exemple un ton plus doux peut mettre certains collègues plus à l’aise. Évoluer dans une équipe diversifiée m’a permis de travailler sur mes compétences relationnelles, ce que je continuerai à faire tout au long de ma carrière.